Legend of Bloody Mary: Bloody Nightmare... (RPG)
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 My dustland fairytale... [By Julian - ADMIN]

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Julian Fireview
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MessageSujet: My dustland fairytale... [By Julian - ADMIN]   My dustland fairytale... [By Julian - ADMIN] EmptyVen 8 Jan - 16:20

»IDENTITY CARD


    My dustland fairytale... [By Julian - ADMIN] 30mlbgl
    My dustland fairytale... [By Julian - ADMIN] 15zkpz7
    Minimoy - Bazzart

    ● NAME: Honors -- Fireview
    ● FIRST NAME(S): Julian Cameron
    ● A G E : 23 y.o
    ● BIRTH DATE: 22.07.86
    ● N A T I O N A L I T Y : Anglaise
    ● J O B : Professeur de sciences surnaturelles.
    ● S I T U A T I O N : Célibataire


»PHYSICAL

    Je suis:
    Blond[] Châtain clair[] Châtain[x] Brun[] Roux[]
    J'ai les cheveux:
    Très longs[] Longs[] Mi-longs[] Courts[x] Très courts []
    J'ai le visage:
    Rond[] Long[] Plutôt carré[x]
    J'ai la peau:
    Mat[] Foncée[] Clair[x] Pâle[]
    J'ai les yeux:
    Bleus[x] Verts[] Marrons[] Noirs[]
    J'ai:
    Un petit nez[x] Un long nez[] Un gros nez[]
    Mes lèvres sont:
    Fines[x] Très fines[] Pulpeuses[]
    Je suis:
    Grand[x] Moyen[] Petit[]
    Je suis:
    Très mince[] Mince[x] Rond[] Plutôt fort[]
    Je suis plutôt:
    Fashion[] Basic[x] BCBG[] Gothique[] Rockeur[] Autre [x]

    Autre chose à dire?
    Julian a un tatouage chinois sur l’avant bras qui signifie « survivre ».


»CHARACTER

    « Je n’estime pas avoir un caractère compliqué. Je veux dire, après tout, qu’est-ce qu’un caractère ? C’est ce qui rend une personne unique, et celui-ci plait ou ne plait pas… Entre nous, je me fiche de ce que les autres pensent de moi. Je suis comme je suis, et tant que je me plais, c’est pour moi l’essentiel… Je suis quelqu’un de plutôt posé, je ne me prend pas la tête pour des choses absurdes car après avoir frôler la mort, il faut avouer qu’on voit les choses sous un autre angle. Je ne suis pas, ou plus, quelqu’un d’extravagant, je reste plutôt calme étant plutôt patient. Il en faut beaucoup pour me faire sortir de mes gonds, même si bon, il arrive parfois que je pète les plombs sans prévenir. Lunatique ? Non, mais on va dire que je suis de nature à garder en moi. Ma sœur dit souvent que je suis une boule de nerfs, ça doit être ça… Cela n’empêche que la patience est une de mes vertus selon moi. Un défaut par contre, ou alors une qualité, tout dépend des gens, je suis très pointilleux. Quand quelque chose est fait, il doit être bien fait sinon je suis capable de tout recommencer ou de faire tout recommencer. Ca se rapproche du perfectionnisme, et j’en suis conscient mais j’ai toujours été dur avec moi-même, moins avec les autres. Plutôt exigeant, je sais ce que je veux, comment ça doit être, et l’imperfection ne doit pas être présente. Je ne supporte pas ne pas maitriser la situation… Mais pourtant, vous pourrez déceler parfois, voire très souvent, un air détaché sur mon visage. Depuis le massacre, je m’attache beaucoup plus difficilement aux gens, et je me détache des conversations qui pourraient être trop sérieuse niveau sentiment ou qui me tiennent pas plus à cœur que ça… Mais je sais être aussi très observateur. D’ailleurs, je suis tout le temps en train de chercher les moindres détails –oui, de nouveau ce désir de perfectionnisme- chez les gens, ce qui m’entoure, etc. Or je reste quelqu’un de renfermé, et plutôt anti-sentiment. Non, ne croyez pas que je suis toujours fou amoureux de Danielle, c’est juste que depuis, j’ai du mal à m’attacher, peur de faire souffrir, peur de souffrir aussi. Mais je ne parle pas tellement de moi, je tente de me faire discret dans la rue. Mais malgré moi, les gens s’attachent, c’est humain après tout… Mais on me dit que je suis quelqu’un d’attachant. Je ne comprend pas pourquoi car je tente de faire le contraire. Peut être que le dicton « repousser pour mieux aimer » fonctionne dans mon cas… Allez savoir. En tout cas, je ne me casse pas la tête à vouloir plaire aux gens. Je suis comme je suis mais attention, je suis assez caractériel, et la franchise fait parti de moi aussi. Je tente de faire preuve de tact quand il le faut, mais je n’hésite pas à dire ce que je pense… A vous de me prendre comme je suis… »
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MessageSujet: Re: My dustland fairytale... [By Julian - ADMIN]   My dustland fairytale... [By Julian - ADMIN] EmptyVen 8 Jan - 16:21

»STORY

    « J’ai eu une enfance de merde. Au moins c’est clair. Mais commençons depuis le début, si vous le voulez bien… Mes parents se sont rencontrés un jour de pluie, partageant le même paravent d’un petit magasin de chaussure. Rien de bien spécial, à dire vrai. Elle était couturière avec des rêves de styliste, il était homme d’affaire. Tous les deux étaient dans la jeunesse de l’âge, à peine 25 ans et avaient des rêves pleins les yeux. Ils crurent au coup de foudre et se marièrent l’année d’après leur rencontre. Le hic ? Moi. C’est joyeux dit comme ça hein? Et pourtant c’était le cas. Ma mère tomba enceinte peu après leur mariage, et mon père ne voulait pas d’enfant, du moins pas maintenant car je cite « ça empêche de vivre la vie correctement ». Je l’ai tellement entendu cette phrase… Je suis né en fin juillet, en plein été. Ce que je vous raconte là m’a été raconté lors de mon séjour en Angleterre lorsque j’avais plus de 20 ans quand je suis allé voir ma famille biologique. Mon père n’était même pas venu voir ma mère lors de son hospitalisation, et apparemment, il ne voulait même pas me reconnaitre. Il l’a finalement fait, par la pression de ma grand-mère paternelle, et c’est ainsi que j’ai pris le nom de Honors. Mais mes parents ne me voulaient pas… Au lieu de me donner à la naissance, il m’ont complètement délaissé, s’occupant de moi seulement quand je pleurais. Un jour, ma grand-mère a vu mon père me baffer alors que j’avais quelques mois, parce selon lui je criais trop pour qu’il puisse travailler en paix.
    Mes premiers souvenirs remontent à mes trois ans. J’étais en crèche. J’habitais Canterbury, une grande ville qui était aussi une grande cité universitaire, et ma mère avait repris ses études pour percer dans le stylisme. Mon père lui plongeait petit à petit dans l’alcool… A l’époque, je ne comprenais pas pourquoi mes parents se disputaient aussi souvent, je ne comprenais pas pourquoi quand je faisais quelque chose de travers, mon géniteur me tombait dessus… C’est les seuls souvenirs de mon père : sa bouteille de bière, et la force de ses coups. Je vous l’ai dit, je n’ai pas eu une enfance facile… Tout s’est arrangé lorsque je suis rentré à l’école. En effet, le bleu que j’avais dans le cou à de suite interpelé ma maitresse. Quelques semaines après, une enquête sociale eut lieu et ma garde a été retiré à mes parents. Ma mère aimait tellement mon père qu’elle le défendait, tout en tentant de me garder. Je me souviens de cette scène. J’ai vu ma mère pleurer les larmes de son corps en me tenant la main, suppliant l’assistante sociale de me laisser avec elle… Moi aussi je pleurais, j’étais qu’un gosse à qui on arrachait à sa famille et je ne savais pas encore que c’était pour mon bien. Pour moi, mon père me frappait car j’étais mal élevé, parce que j’étais un incapable, parce que « je l’empêchais de vivre la vie correctement ».

    Déjà à cette époque, j’étais un gosse assez renfermé sur moi-même. J’ai fait près d’une année dans un foyer pour enfant, et mes blessures physiques ont disparus assez vite, contrairement à mes blessures morales qui sont encore là… Mais ma vie prit un autre tournant. Je ne suis pas resté dans cet endroit, non, une riche famille américaine prit la décision de m’adopter. Pourquoi moi ? Allez savoir, en tout cas, je leur serait éternellement reconnaissant même si au début, ce n’était pas trop ça. J’avais du mal à les comprendre, leur accent était tellement différent du mien. Mais surtout, j’étais jeune, et effrayé par cette nouvelle vie. Des parents qui semblaient déjà m’aimer (j’ai appris plus tard que ça faisait des mois qu’ils voulaient m’adopter et que je les avais déjà rencontré au foyer, mais je ne m’en souviens plus), une petite sœur d’un an, une grande maison tout le temps propre, un jardin, une piscine… Tout le contraire de ma vie d’avant. En tout cas, très vite, je fini par prendre ma place et Mary et Clark ne faisaient aucune différence entre Meelie –leur fille biologique- et moi. D’ailleurs, on s’entendait très bien tous les deux. Bon d’accord, on se disputait pas mal, surtout quand elle avait 3-4 ans et moi une dizaine d’année mais on s’adorait, et moi je la protégeait contre vent et marée quand on était à l’école. Mes parents ne m’ont jamais caché que j’étais adopté, mais ils m’ont toujours dit que j’étais malgré tout un Fireview. A l’école, j’avais d’excellentes notes et j’étais parmi les meilleurs de ma classe…

    J’ai donc grandi avec les Fireview, avec ma famille, et je n’ai jamais revu mes parents biologiques. Je ne savais même pas ce qu’ils étaient devenus, et je m’en fichais. Arriva l’époque du collège. Déjà à cette époque, je compris vite que je plaisais aux filles. Ca se comprend quand on marche dans le couloir et que les regards se tournent, qu’à la cantine, on ne mange jamais seul. A dire vrai, je me suis construis mon petit empire. Je veux dire par là que j’avais mon cercle d’amis, et que j’étais connu dans le bahut. Avec Samantha –que je connaissais depuis déjà quelques années- on faisait parti des plus populaire du collège, et ça nous a suivit au lycée. Pourquoi ? Parce que moi je suis rentré dans le groupe de rock du lycée en tant que guitariste, et elle était pompom girl. C’est surtout au lycée que le groupe des quinze prit place, au fur et à mesure des années, la table s’agrandissait… Et c’est en première année que j’ai rencontré Danielle… Ha Danielle, elle était toute ma vie. Une jolie demoiselle au yeux marrons, les cheveux châtains qui ondulaient naturellement… Je ne dirais pas que c’était un coup de foudre, mais presque. Avec elle, je me sentais libre, je lui ais raconté toute ma vie… Notre premier baiser fût échangé en milieu de première année, et notre première fois à tous les deux pendant les grandes vacances scolaires… Ma vie de lycéen était parfaite. Des amis sur qui je pouvais compter, une petite amie en or, populaire, gosse de riche, quoi demander de plus ? Rien, il faut l’avouer, je n’avais rien à envier à personne…

    Quatrième année, l’année du massacre… Je n’avais pas encore 18 ans, mais Meylian fêtait les siens ce 18 avril . Une grande fête, dans le chalet familial situé à l’extérieur de la ville. Chacun chargé de ramener quelque chose, j’avais pris en charge une partie de l’alcool –sans le dire à mes parents car on avait pas le droit de picoler- et je prenais ma voiture car elle tenait bien la route. On était tous les 15, il ne manquait personne, et ça risquait d’être marrant. Qui aurait cru que ça allait tourné au drame ? Aucun d’entre nous, ca c’est sûr… La journée s’était bien passé, chacun s’était installé dans une chambre –moi avec Danielle- puis on a ouvert la première bouteille à 06.00 PM. Ca coulait à flot, les lignes de cocaïne et les joints circulaient à tout va, jusque tard dans la nuit. D’ailleurs, on était tous bien éméché quand Sam proposa d’invoquer Bloody Mary. Moi j’avais pas mal bu aussi, mais je restait conscient de mes faits et gestes. Je n’aurais jamais cru que ça allait réellement se passer, je n’aurais jamais pensé qu’en sortant de la salle de bain cette nuit là, je verrais mes amis mort dans le couloir devant leur miroir… Voir Danielle morte, la coupe tranchée, les yeux ensanglantés… Cette image me hante encore maintenant… L’affolement général. J’ai appelé les pompiers, je pensais qu’il y aurait une chance mais aujourd’hui je me suis rendu compte que mes espoirs étaient stupides. Jeunes et cons, voilà ce qu’on était. Mais je n’aurais jamais cru que Bloody Mary existait, non, jamais… Pourquoi je ne suis pas mort cette nuit là ? Je n’en sais rien. Pourtant, je l’ai vu. Elle était dans ce grand miroir circulaire, éclairée par les 2 bougies. Elle m’a regardée, j’ai senti un grand frisson de froid, une lame sur mon cou, puis plus rien. Je vivais, comme 6 autres, je vivais, mais je ne savais pas pourquoi…

    Moralement, c’était très dur. J’avais perdu ma petite amie, j’avais perdu 7 amis qui m’étaient cher. Je dois avouer que j’en voulais à Samantha d’avoir lancé ce truc. Au début du moins, après je me suis coupé du monde. J’ai passé mon diplôme après avoir fini mes études par correspondance. J’avais la crainte des miroirs, crainte qui s’est à présent volatilisé mais à l’époque, je n’arrivais plus à sortir de ma chambre… Puis mon paternel m’a conseillé d’aller ailleurs, de me libérer l’esprit. Au D2but, je ne voulais pas, je craignais de me retrouver seul… Mais j’ai finalement pris la décision de partir pour me rendre en Floride pour avoir beau temps et bonne fac en même temps. Je voulais faire des études de sciences surnaturelles pour comprendre… C’était le début d’une nouvelle vie, après avoir passé des mois enfermés dans ma chambre, sortant juste pour que mon père m’emmène chez le psy. D’ailleurs, j’ai fait des séances de psy jusqu’à 20 ans, soit un peu plus de 2 ans de thérapie. Une fois plus ou moins libéré de l’emprise de Bloody Mary sur mon esprit, je voulais combattre mes vieux démons. Alors je suis parti à Canterbury pour faire mes 2 prochaines années d’études. Je voulais savoir qui étaient mes géniteurs, ce qu’ils étaient devenus. Pour cela, je suis allé voir ma grand-mère paternelle qui habitait toujours là bas. Elle m’expliqua que mon père avait fait de la prison suite un procès pour m’avoir maltraité, et ma mère s’est suicidée peu avant la fin du procès. Joyeux hein ? Mais ça ne m’a tellement toujours pour tout vous dire, je m’en fichais même un peu. Bien entendu, pendant mes années de fac, je gardais contact avec mes parents adoptifs et ma petite sœur, lui écrivant le plus souvent possible ou l’appelant. Sam ? Des nouvelles qui se comptaient dans l’année sur les doigts d’une main, je voulais me couper de « la Bloody Party » comme le disait si bien les journaux américains. Les amours ? Rien de particulier. Des flirts en majorité, les histoires d’une nuit ou deux mais sans plus, misant surtout sur mes études. Danielle ? J’avais réussi à tourner la page, même si elle restait encore quelque part, à l’intérieur de moi…

    15 avril 2009, mon avion a décollé avec quelques heures de retard à cause des turbulences à Londres. Je faisais ma première année en tant que professeur dans une faculté londonienne privée, mais je fus contacter par la fac de Minnéapolis : ils me voulaient dans leur établissement. Oui, mon parcours était assez étrange, et j’avais vécu quelque chose de surnaturel même si peu de personne le croyait, mais apparemment, c’est surtout un vieux professeur proche de la retraite qui voulait que je reprenne des cours à lui pour que l’année prochaine, je lui succède. Voilà ce qu’on m’avait proposé la semaine dernière… J’ai alors accepté, et je pars pour New-York pour ensuite prendre un vol direct direction Minnéapolis… Je voulais combattre mes vieux démons, je voulais retourner dans ce chalet pour comprendre… 19 Avril 2009, mes premiers pas dans la ville depuis près de 5 ans maintenant… Flash info : 3 ados mort ce matin dans le chalet McArthur, la bloody party continue. Le cauchemar continue… »
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MessageSujet: Re: My dustland fairytale... [By Julian - ADMIN]   My dustland fairytale... [By Julian - ADMIN] EmptyVen 8 Jan - 16:22

»... BLOODY MARY ...

    Oui, je l’ai vu, et je peux vous assurer que c’est loin d’être une fierté… La peur, la crainte de la revoir me hante, son visage me semble toujours proche du mien. Rien qu’à l’idée de me regarder dans un miroir me terrifiait… Mais comme tout le monde le dit si bien, on apprend à vivre avec ses peurs et c’est ce que j’ai fini par faire. Or je n’oublierais jamais Bloody Mary, je n’oublierai jamais son teint blanc et ses yeux sanguinolents. Il parait que chacun la voit de façon différente, ou alors le souvenir de son visage est un rassemblement des bribe de souvenirs. Or moi je me rappelle de sa présence, du froid qui a parcourut la pièce, la sensation d’une lame sous ma gorge, puis plus rien… Perturbant, n’est-ce pas ? Personne ne peut comprendre ce qu’est une rencontre avec Bloody Mary sauf ce qui ont survécu ce jour là… Pourquoi ? Pourquoi nous a-t-elle épargné nous 7 et pas tous els autres qui étaient avec nous ? Je n’en sais toujours rien, je n’ai toujours pas résolu se foutu mystère. Mais tout ce que je peux vous souhaiter, c’est de jamais la croiser, de ne jamais l’apercevoir ou alors vaut mieux en mourir… Vivre avec cette peur constante est tellement difficile que j’aurais préféré mourir avec Danielle plutôt que rester pour voir ce massacre… Tous nos amis morts, du sang coulant des yeux, la gorge en charpie, la terreur sur leurs visages… Ce sont des images que je ne pourrais jamais oublier, des images qui planeront surement à jamais dans mon existence… Mais à présent, j’ai fait de Bloody Mary une force de vaincre et de connaitre ce qui s’est réellement passé plutôt qu’une peur et une douleur…
    Le nouveau massacre ? J’en ai entendu parler… Trois abrutis qui n’avait rien d’autre à faire que tenter le diable… Ils ont cru quoi ? Nous sommes des miraculés, et nous ne savons pas pourquoi, il fallait être fou pour retourner à cet endroit… Personnellement, je n’y ai encore jamais remis les pieds, il me reste encore une légère appréhension à franchir le seuil de la porte du chalet de Mey’. Bloody Mary hante-t-elle l’endroit.. ? Bonne question, une fois de plus je n’en sais rien car je ne me suis pas attardé sur une possession du chalet ou autre mais vu les trois nouvelles victimes, il y a quelque chose… Soit en rapport avec la date, soit en rapport avec le lieu… J’aurais le fin mot de cette histoire, j’y arriverais, je trouverais, et je vaincrais celle qui me hante depuis cinq années…



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PSEUDO: Loly
AGE: 18’
COMMENT AVEZ-VOUS LE FORUM? Des E.T m’ont donné l’adresse Rolling Eyes
NIVEAU RP SUR 10? Tout dépend du destinataire et ce qu’il fourni.
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